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Timbale à thé Constantinople en porcelaine blanche
30 €
43 €
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La timbale à thé Constantinople est faite main en porcelaine blanche de Limoges.
Pour boire un thé ou un café, en pots à crayons ou à pinces à cheveux, pour brûler une petite bougie ou en guise de cache-pot... Les grandes et les petites timbales gravées s'adoptent et se collectionnent au fil du temps.
Détails produit
Finition émaillée
Compatible lave-vaisselle, micro-ondes et four traditionnel
- Type de produit :
- Timbale à thé
- Collections :
- Constantinople
- Matières :
- Porcelaine de Limoges
- Lieu de fabrication :
- France
- Créé à :
- Paris
- Fabrication :
- à la main
- Diamètre :
- 8.5
- Dimensions :
- 8.5
Timbale à thé Constantinople en porcelaine blanche
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Porcelaine de Limoges
La porcelaine est la pâte céramique la plus noble et la plus blanche qui existe : elle est également appelée l’or blanc ou encore la reine de la céramique. Il s’agit de la matière la plus intemporelle et raffinée d’entre toutes, qui était historiquement utilisée pour la réalisation des services royaux.
Fine et translucide mais résistante au quotidien, elle supporte sans encombre les passages au micro-onde, au four et au lave-vaisselle.
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Atelier & savoir-faire
Porcelaine
Alix imagine toutes les collections de vaisselle en réinterprétant les symboles de notre patrimoine.
Les modèles en plâtre ou en terre sont sculptés et gravés à la main dans notre atelier à Paris. A partir de cette forme, nous créons un moule qui est envoyé à Limoges dans une manufacture familiale où seront ensuite produites toutes nos pièces dans le respect des techniques traditionnelles.
Nos porcelaines sont ensuite marquées au vert de chrome « Limoges France » associé à un dessin symbolisant le millésime permettant de dater chaque pièce.
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La créatrice
Forte de ses ambitions, créative et patiente, l’esthète Alix D. Reynis devient modeleuse, une passion latente pour un travail d’artisan auquel elle s’était initiée plus tôt. Ce virage professionnel intervient après la naissance de son quatrième enfant, comme une prise de conscience pour cette autodidacte ayant suivi des études de droit. Alix se consacre pendant cinq ans à la sculpture et revient au notariat. Le hasard la conduira entre-temps dans un poste de chef de chantier. La créatrice oscille alors entre deux carrières, l’une de cœur et l’autre de raison.
C’est en 2011 qu’elle entame une bascule définitive et crée sa marque éponyme. Une manière de bousculer le paysage professionnel qui se donnait à elle et d’embrasser une carrière qui faisait sens, l’allégresse légitime de faire de ses mains.
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